Astrocriminologie

 

 

Les cofondateurs de l’Astrocriminologie

 

 

Chercheurs indépendants, formés à la fois à l'astrologie psychologique, aux sciences humaines et à la criminologie, les auteurs de cet ouvrage ont croisé leurs parcours dans une quête commune : comprendre les racines invisibles du crime à travers une lecture astrologique rigoureuse et transdisciplinaire.
À travers l’étude comparée d’environ un millier de thèmes astraux de criminels et de victimes, leur méthode s’est affinée jusqu’à donner naissance à un champ nouveau — l’astrocriminologie — à la fois empirique, symbolique et clinique. Ils œuvrent désormais à structurer cette discipline et à en transmettre les fondements par la publication d’ouvrages, d’analyses et d’outils méthodologiques. 

                              Jonathan Masse 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Initié à l’astrologie dès l’adolescence, il développe très tôt une pratique approfondie de l’astrologie psychologique, nourri à la fois par une attention soutenue — sans doute en lien avec son syndrome d’Asperger — et par une forte disposition introspective.
En parallèle, il poursuit des études d’Histoire à l’Université de Clermont-Ferrand, dont il sort diplômé, ce qui renforce son goût pour l’analyse rigoureuse et sa capacité à relier les structures symboliques aux dynamiques temporelles.

Animé par une exigence intellectuelle constante, il cherche à revisiter certains poncifs astrologiques, en défendant une astrologie tournée vers l’avenir — attentive à se préserver des dérives mercantiles comme des illusions ésotériques — et orientée vers une exploration lucide des mouvements de la psyché humaine. Son approche s’enracine dans le désir de mieux comprendre les lois qui structurent l’organisation du cosmos et la trame des destins individuels, dans une interrogation toujours vive autour du mythe du libre arbitre et de la prédestination.

Actuellement en formation en criminologie à l’Institut d’Aix-en-Provence, il envisage de consacrer ses futures recherches à la question du Shadow work, dans la lignée jungienne, ainsi qu’au développement théorique et pratique de l’astrocriminologie. L’œuvre de Liz Greene demeure pour lui un repère majeur de l’intelligence astrologique appliquée à la psychologie : une référence qu’il aspire à prolonger avec rigueur et profondeur.

 

                                                  Déborah Torres         
 
 
 
 
 
 
Dès l’enfance, elle s’initie d’elle-même à l’astrologie, portée par une passion précoce et ardente. À un âge où d’autres découvrent le monde, elle s’interroge inlassablement sur les grandes énigmes de l’existence. Une expérience transpersonnelle à neuf ans vient sceller cette orientation : chercher à comprendre les mystères de la vie et de la mort, et consacrer son parcours à l’exploration des lois profondes qui structurent l’être.
Cette quête l’amène à explorer de multiples horizons : un long séjour en Inde, l’étude du Yoga intégral de Sri Aurobindo, la pratique de la danse sacrée indienne, mais aussi l’approfondissement rigoureux de la pensée astrologique, psychologique et symbolique. Nourrie des œuvres de Liz Greene et d’Alice Miller, elle développe une approche exigeante et transdisciplinaire.
Formée par Marc Bériault, dont elle a ponctuellement animé des cours sur la Lune noire dans le cadre de l’Université virtuelle au début des années 2000, et cofondé Les Mercuriels, gazette astrologique de l’époque, elle a également suivi l’enseignement sur les planètes transpersonnelles de Fanchon Pradalier-Roy, alors responsable de la collection « Astrologie » aux éditions du Rocher. Plus tard, elle collaborera avec Natarajan pour son site Astrologie Supramentale, toujours en ligne, et partage ponctuellement son savoir dans le cadre de transmissions informelles.
Si elle a parfois exercé la consultation astrologique, c’est la recherche qui s’est imposée comme sa voie. Depuis plus de trente ans, elle explore les zones d’ombre de la psyché humaine, la question du Mal et les logiques souterraines du crime. Ce qui, à l’origine, relevait de la fascination et de l’effroi s’est mué en une exigence de lucidité et d’alchimie de l’Ombre, tant personnelle que collective : une entreprise de compréhension profonde et rigoureuse, au confluent de l’astrologie, de la psychologie et de la criminologie.